Tour 3 du MV

Saint Empire Griffon et Inquisiteur

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Guiguit

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Sinople

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Canossa

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Gytz

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Nisnis

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Berton

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Shah

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Ilyu

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Pabu

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Vauban

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Léo

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Clans elfes noirs

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JDD

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« Un scandale que ceci ! Je vous le répète monsieur le patricien, cette arrestation est hors de la juridiction de votre milice. Si vous voulez la guerre avec la guilde, dites-le franchement ! Car vous ne me faites pas peur ! Je vous le dis ! »

Voilà ce que criait le maître de la guilde des voleurs, de manière assez discrète, et surtout mental en face du miroir posé dans l’antichambre du palais du Patricien de Tharaa. Ce dernier avait révisé son entrée par cœur, et il était prêt à faire une énième tentative pour avoir l’air menaçant. La porte s’ouvrit, laissant passer la tête du chambellan du patricien.

-Darius Avéroès, Patricien de Tharaa est disposé à vous recevoir.

Bien entendu, il est toujours plus facile de s’imaginer des scénarios mentalement. Mais une fois confronté à la réalité, ces scénarios tombent à l’eau, laissant place à une certaine improvisation. Dans le cas du maître de guilde, plus de l’improvisation d’un petit théatreux débutant face à un professeur extrêmement sévère.

Le maître de guilde entra, déglutissant un grand coup, avec un pas presque assuré, marchant droit vers la silhouette du patricien, penché sur son bureau.

« Je vous écoute noble Taïr Lesak, que me veux la guilde des voleurs. Ce n’est pas à propos des deux membres ayant été arrêté par ma milice j’espère ? commença le patricien en gardant ses yeux rivés sur ses documents.

-Eh bien… euh… C’est à dire que oui…

-Ils ont été arrêté sans leurs permis de vol par mes hommes. De plus, ils exerçaient à 4h30 du matin, alors que la loi stipule que leurs horaires de vol s’arrêtent à 3h30 précise, comme le stipule la charte que nous avons signée. L’affaire est donc close.

-Mais… Ils avaient oublié leurs permis à la guilde. Petite erreur d’innatention… Et puis, avec le changement d’heure…

-Vous voulez dire que la guilde embauche des hommes distraits et incapable de lire l’heure ?

-Je… Euh…

-Dans ce cas, vous comprendrai que je garde ces personnes dans ms geoles mon ami.

-Vous savez… Un acte de générosité bien placé de votre part pourra être perçu de bonne manière parmi la guilde… Peut-être serions nous capable de rendre l’appareil bégaya le maître de guilde assez penaud.

Sans lâcher ses documents, Darius sembla esquisser un léger sourire.

-Une faveur contre la libération de vos deux voleurs ? Bien. Ça me suffit. Bien évidemment, cette faveur sera choisi selon mes propres soins. Vous pouvez disposer.

-Mais je…

-J’ai des devoirs plus importants qui m’appelle mon ami. Disposez.
Reconduit à la sortie, le maitre de guilde ne put prononcer d’autres mots.

« Bien. Il est temps à présent de s’occuper de Tharaa comme il faut. Il faudrait peut-être penser à organiser un banquet pour rencontrer les grands de ce monde. Qu'en pensez vous Haskil?

- Seigneur, je pense que cela serait fort plaisant.

-Oui. Fort plaisant de les voir tous face à moi gigoter et se tortiller. Se gausser et briller. Un spectacle comique qui serait des plus divertissant.

Elessar

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Sinople,shah,JDD

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Le feu qui brûle et purifie

   



 Arkath avait parlé et pour unir les nains face a la menace qui se profilait il fallait les unir. Mais face aux déclarations du haut prêtre, le chef du clan Grimsteel refusa de croire ses mots et continua a rester seul dans son coin, neutre. On pensait alors qu'il était juste atteint de la maladie Souisse qui est une maladie mentale qui pousse au renfermement sur soi-même. Mais via la magie et les songes, Sipoune put déceler en ce nain une part corrompu qui le poussait a rejeter la volonté d'Arkath.
 Pour pourvoir protéger la forteresse tout entière il devait déposer ce seigneur. Il rassembla donc son ost et devant la difficulté de s'attaquer au terrible clan Grimsteel, il recruta en nombre des mercenaires humains. Alors qu'il était en marche, il appris que des soulèvement avaient eux lieu dans la ville a cause de la politique de JiDaiDaye, le chef du clan. Ainsi à l'approche de l'armée du Haut Prêtre, la population avait abandonnée son chef et ouvert les portes de Fjori pour permettre a Sipoune de le déposer.


   @Nisnis

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@Shah

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 @Elessar

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@Elessar

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Le festival était plutôt décevant pour Alaron. Les spectacles étaient des plus banales. Dans sa longue vie, il avait vu à maintes reprises ce genre de divertissements, et chaque joute, chaque cerf-volant lui en rappelait un autre. De même, il connaissait chaque rue de cette cité pour les avoir parcourues cent fois et plus encore. Il les traversa pourtant une fois de plus en direction d’une petite ruelle que peu de gens remarquaient. Le service de voirie, par exemple, a dû oublier cette rue, à moins qu’elle ne figure pas sur leurs plans. Alaron évita les nids de poules et rentra dans une petite boulangerie. Le clocher sonna trois fois.

Le messager n’avait pas menti : la cuisine était exquise. Un grand banquet aurait lieu ce soir et déjà il se réjouissait. Déjà sa voiture était pleine de mets délicieux à rapporter chez lui. Notamment plusieurs livres de pâte d’amande et un panier empli de galettes au miel. Mais ce qu’il venait chercher ici était tout autre.

Lorsqu’il était entré, une petite clochette tintinnabula au-dessus de lui. Il s’approcha du comptoir familier et attendit. Après dix bonnes minutes, un vieux nain s’approcha du comptoir et grimpa sur un tabouret. L’être était véritablement rabougri, comme si on l’avait pris par le haut du crâne et qu’on l’avait torsadé en le tirant vers le haut. Son nez a dû être taillé en pointe et ses oreilles tirées vers le haut. Le nain, à moins qu’il ne s’agisse d’un homme très peu fortuné, demanda alors :

« Il vous faut quéqu’chose ? »

Alaron retira alors la capuche qu’il avait gardé tout ce temps pour cacher son visage. Aussitôt, la face étrange se fendit d’un sourire édenté :

« Ah, c’est vous, mon bon monsieur ! Comment allez-vous ?
- Fort bien, mon vieil ami. Tu es toujours aussi radieux.
- Radieux, hein ? s’exclama-t-il avant de cracher par terre. Le temps passe, mon bon monsieur, et mes plus belles années sont bien loin derrière moi.
- Il en va de même pour tout le monde.
- Mouais… Mais dis-moi, t’es pas venu juste pour faire la causette, si ? Tu viens chercher quéqu’chose… Attends ici…

Il passa dans l’arrière-boutique. On entendit des bruits de casserole et de vaisselle, un miaulement aigu suivi de jurons. Une porte ou un placard claqua et il réapparu en tenant un paquet dans ses mains. Il le pausa sur le comptoir et commença à le défaire. Alaron fricotait du regard avec un bocal empli de galettes, confiseries et autres délices.

« Tu peux en prendre un, mon vieux, dit-il en défaisant le paquet. Voilà… Gâteau au noix. Celui que tu préfères.
- Il est vrai que ce gâteau est magique, répondit Alaron en prenant une part. Mais ce n’est pas celui que je préfère. J’ai sur moi de quoi faire un meilleur gâteau.
- Ah oui ? Dans ce cas… »

Il souleva une planche du comptoir et lui fit un geste accueillant, tout en disant :

« Si mon bon seigneur veut bien se donner la peine… »

Alaron passa dans l’arrière-boutique. Telle qu’elle a toujours été, elle contenait un bazar plus grand que le volume de la pièce. La vaisselle s’empilait dans une cuvette, des chaudrons traînaient partout, et divers instruments et alambiques occupaient les places les plus insolites. Des sacs de farine obstruaient la porte de la réserve. Du sol au plafond,  tout s’empilait sur tout et la place pour se déplacer était à peine suffisante pour un nain et un elfe s’il baissait la tête.

Le boulanger fit de la place sur un plan de travail couvert de farine et tendit la main vers Alaron. Il sortit de sous sa cape un paquet allongé qu’il lui offrit. Il le posa sur le plan de travail et le déballa.

« Très intéressant… C’est un magnifique ingrédient que tu m’apportes là... De nombreux pâtissiers se l’arracheraient à coup sûr…
- Sais-tu ce qui se marierait le mieux avec ?
- Pas encore… Laisse-le moi un moment, prends ton gâteau et repasse ce soir. Tu me paieras les pâtisseries à ce moment…
- Merci à toi mon ami. Salut à toi. »

Alaron sortit avec pour toute réponse le grognement du pâtissier.

Elessar:

L'Archimage était content. Le plan s’était correctement déroulé Sahaf Makut avait correctement exécuté son travail, il avait mis sa vie, sa réputation et son intégrité en danger afin d'accomplir une mission de la plus grande importance, il avait fait courir la rumeur qu'il s'adonnait a des pratiques nécromancienne, l'avait avoué publiquement,et ce dans le seul but de se faire approcher par des micro-groupes nécromants, les avait infiltré et maintenant les vils-nécromant se balançaient par le cou sur les place publique des différentes villes de la ligue.
Il était maintenant le temps de rétablir la réputation de Sahaf Makut en dévoilant au publique par l’intermédiaire d'une retransmission holographique de sa propre personne, par l’intermédiaire des journaux et différent média, et finalement en décernant une médaille de l'honneur a Sahaf Makut.

@Canossa

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@Elessar

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***Erika Wolf, duchesse du Loup***

@ MJ :

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Le soleil venait de se coucher sur l'ancienne terre des nécromants, marquant la fin d'une nouvelle journée à se cacher...Contre quoi, Matthias n'en savait rien, mais il devait se montrer prudent, les hommes des mages devaient probablement patrouiller la région, il devait rester cacher, et se préparer à fuir.
De temps à autres, il remarquait des ombres glisser sur les montagnes, mais elles se soustrayaient à sa volonté dès qu'il cherchait à les amener à lui.
Il était de toute évidence encore trop faible pour soumettre à sa volonté les peuples maudits de la terre des morts.

Son esprit néanmoins, demeurait clair, et il commençait à deviser d'un plan plus réaliste pour sa vengeance au fur et à mesure de son voyage. Il voyait devant lui les ruines des différentes cités pour lesquelles il avait combattu. Dedans se terraient probablement les plus brutales créatures de la nuit, il devait les soumettre à sa volonté, mais il avait besoin d'un symbole, Nar Ankar devait être reconstruite si il devait s'accaparer le pouvoir. Qu'aucun nécromant n'est cherchait à le faire le surprenait, mais il était vrai que la reconstruction de la cité aurait terrifié le monde, et une coalition se serait rapidement formée, et aurait vite fait de dévaster son pouvoir encore faible...
Non, il devait ronger son frein, retrouver les anciens documents et reliques qui avaient fais la puissance du Roi-Nécromant, assouvir les liches à sa volonté...
Il était seul.

Cependant....
Etre seul n'était pas une si mauvaise chose, il pouvait désormais s'informer sur le monde grâce à ses pouvoirs, n'ayant pas eu l'opportunité de le faire pendant qu'il récupérait, c'eut été trop épuisant et il aurait risqué sa vie pour bien peu de choses.
Son corps s'était régénéré, mais les stigmates de ses blessures demeuraient bien qu'elles ne le faisaient plus souffrir. Elles ne l'handicaperaient plus, et il les porterait avec honneur, car elles faisaient désormais parties de son identité.

***GRIMSTEEL***

SUS AUX BOURGUIGNONS !

@MJ :

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Edric était préoccupé par les récents événements. Des rumeurs de nécromancie lui parvenait depuis les cités des mages et il pouvait difficilement faire confiance à l'archimage, ce lunatique avait menacé publiquement de détruire la barrière entre Ashan et le monde démoniaque. Des combats avaient lieux au nord, le clan Deepflame semblait décider à unifier les nains sous une seule bannière. Les nouvelles en provenance des cités libres n'étaient pas non plus de nature à le rassurer.
Heureusement qu'il y avait cette découverte....une grande mine de cristaux de sang sur ces terres.

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