Dixième tourdu MV middle earth.(Nárië FO 200)

@Maxsilv:

@Ilyu:

@Canossa:

@Berton:

@Nisnis:

@Sinople:

@Papazoulou:

@Elessar:

@JDD:

@Pabu:

@Léo:

@Guillorque PNJ:

@Guiguit PNJ:

C'est une journée assez spéciale car j'ai quéri le titre de "Chancelier de L'Arnor", une nomination qui me rend heureux moi et tous les hobbit .

J'ai reçu un messager qui ma donner une mission, la mission était que j'ai aux Thorin's Halls afin d'améliorer les relations entre l'arnor et les nain de l'Ered Luin...

Je pris donc mon poney , y attacha une sacoche remplis de biscuit et autres friandises; Je partis donc avec mes compagnons vers les montagnes de l'Ered Luin...

@Berton:

@Vauban:

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                                              Isumbrass VII , Chancelier de l'Arnor
                                                              et Thain de la Comté

Ederthedir, fils de Draugon,
Intendant de l'Arnor, Seigneur de Fornost

Ces dernières semaines, Ederthedir eut souvent l’occasion de côtoyer le peuple de Durin. Intrigué par ce peuple généralement discret, renfermé la plupart du temps dans leurs mines, il s’était pris d’intérêt pour ce peuple fier et vaillant et en particulier pour leur incroyable maîtrise des métaux. La qualité de leurs armes était incomparable, tout comme leurs machines de guerre.


Ederthedir était impressionné par leur détermination inébranlable malgré leurs récentes défaites, c’était comme si tous convergeaient vers un seul et même objectif et tous était prêt à mourir au combat pour l’atteindre. Leur vaillance, la force de leurs convictions ne pouvait qu’encourager les soldats de l’Arnor.

@ Nisnis & Sinople :

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@ Vauban :

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Tal-Ardar, chef des tribus d'Eryn Vorn

Ces journées étaient de plus en plus monotones. Rien ne perturbait les semaines tranquilles et paisibles des peuples d’Eryn Vorn et beaucoup étaient satisfaits de cela. On n’organisait quelques festivités de temps à autre, certes, mais un silence habituel s’imposait le plus souvent dans la forêt du Cap Noir.

Tal-Ardar continuait ses rondes quotidiennes dans les tribus. Il se demandait parfois son utilité en s’apercevant que rien ne troublait la quiétude de ces dernières. En effet, les revendications des chefs se faisaient moins fréquentes et les conseils journaliers des dirigeants se trouvaient parfois annulés par manque de contenu à débattre. Cette répétition d’inactivité ennuyait peu à peu le jeune homme qui passait de plus en plus de temps à ses propres occupations. Quant à ses recherches d’une femme, il ne savait pas vraiment par où commencer, hésitant entre un mariage de façade, d’amour ou bien d’intérêts. Cette dernière piste intriguait particulièrement Tal-Ardar, n’ayant jamais été exploité…

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Petit RP parce qu’il n’y a pas grand-chose à dire de plus
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@Vauban :

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   @commissaire général vauban

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Chroniques de la vie de Hallatan Ar Zimrathon, Prince de Dol-Amroth par lui même.

2 semaines, 2 foutu semaine alité. Je regretterai presque Tolfalas et son délicieux climat. Mais ça y est, la fatigue est passé. J’ai fait bien pire et connu des climats bien plus éprouvant. Après avoir réussi a rendre l’audition, je m’attaque a la vue. Toujours ce fidèle Arandur a mes côtés, et mes hommes prêt pour le travail. Le Belfalas fini toujours par faire son travail, même avec du retard.



@ Vauban

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Les deux armées se faisaient face, elles se sont échangées des volées de flèches les pertes étaient importantes, mais acceptables. C'était l'heure du choc.

Vauban:

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PNJ Homme du nord

vauban:

Valandil Elfhelm

La bataille avait déjà commencée. Mais le Maréchal n'était pas arrivé trop tard pour autant.
est ce ça, qu'ils ont ressenti? Devant les champs du Pelennor et Minas Tirith, devant l'armée noire et la cite blanche? Je ne distingue qu'à peine allié d'ennemi. Tout du moins je sais qu'il y en a.
Il avait sa mission, il la connaissait et savait qu'elle allait être dur.C'est ironique. Je me suis rarement senti aussi las. Est ce le retour d'une guerre raciale?
Tous ses hommes étaient prêts. Dans l'état mental qui convenait : pas de stress, mais pas de joie pour autant.
- En formation.
Ces paroles prononcées calmement se relayèrent parmi les troupes, et 9 lignes de 1000 hommes de mirent en place. L'état mental adéquat accompagnait cette position simple. Le maréchal éleva la voix.
-SOLDATS ! Aujourd'hui, nous n'avons pas le luxe d'un grand discours ! Nos frères ont besoin d'aide ! Si nous perdons, mourrez avec honneur. Si nous gagnons, assurée vous que chacun de nos ennemis meurt !
Et pour la deuxième fois, le cor du Rohan fendit l'air alors que les cavaliers chargeaient.

Vauban:

L’un des rares points sur lequel les forestiers étaient en avance sur Esgaroth, c’était le réseau de corbeau. Il y avait très peu de corbier sur le territoire d’Esgaroth, bien que celui de la cité soit plus grand que la bâtisse de Nearwelf. Au Narrow, toutes les tribus de forestier avait ses propres corbeaux, entraînés depuis des années à franchir des distances exceptionnelles. On en avait vu très peu se perdre et on avait coutume de dire que seul les beornides pouvaient mieux les entraîner.
Storr était prêt pour le départ; il ne lui restait que quelques lettres à envoyer. Deux étaient de lui, la troisième était de Hallaran. Il prît le temps de vérifier ses lettres une dernière fois avant de les envoyer :

« Mon cher Rupert,
Je ne peux vous remercier pour tout le travail que vous avez fourni ces dernières semaines. Je ne sais ce que serait devenue Esgaroth sans vous. Votre collaboration m’est des plus précieuses, et je compte sur vous pour vous occuper de la cité cette semaine encore. Comme vous l’avez sans doute compris, je quitte les forestiers aujourd’hui, et non sans plaisir. Je serai de retour la semaine prochaine, sauf incident en cours de route. Dès mon retour, vous pourrez vous reposer; je reprendrai immédiatement toutes les affaires courantes. Aussi, j’attends de vous que vous prépariez un dossier pour chacune d’elles, et que vous mettiez en avant les plus importantes. Je vous remercie d’avance pour cela.
Je ne peux vous faire une présentation de mes résultat auprès des forestiers en une lettre, mais sachez qu’ils n’ont depuis peu plus aucune importance. Préparez-vous à voir le jeu politique changer.
Je joins à ce corbeau une lettre pour ma famille. Je compte sur vous pour la leur transmettre. Avec une fois de plus mes remerciements,

Claire et professionnel. De quoi rassurer Rupert et préparer son retour. Il prît la deuxième lettre :

« À mes biens aimés,
Je m’excuse encore pour cette trop longue absence qui me pèse tout autant qu’à vous. Vous qui m’êtes ce qui est le plus cher à mon cœur; vous qui êtes la plus belle chose que la vie m’a proposé; vous qui gardez mon cœur et ma confiance comme personne ne le peut; vous à qui j’ai promis de revenir au plus vite avant de vous quitter pour trop longtemps; je ne peux que m’aplatir devant vous. Vous dites que c’est le destin qui m’a fait partir, et si c’était vrai, je me sentirais mieux. Mais c’est moi qui ai décidé de partir, et pour cela je ne peux que m’en vouloir.
Assez-t-il tout étant, ne pensez pas que je suis resté au Narrow par plaisir : ce lieu est des plus désagréables. Les hommes y sont rustres et les bêtes mauvaises. Ces gens qui vivent de la forêt y ont développé une nature presque sauvage qui les rapproche de leur milieu. Cet état est sans doute un bienfait pour eux, leur vie étant ainsi plus sûre en ces lieux. Mais dès lors qu’un autre les approche, cette rudesse est une barrière plus sûre que s’ils parlaient une langue différente de la nôtre. J’espère ne plus jamais avoir à faire avec l’un d’eux, car ils m’ont laissé un souvenir des plus déplaisants. Je songe parfois que les ténèbres ont laissé une trace durable sur ces paysages, et que les hommes comme les bêtes vivent encore dans l’ombre de Dol Guldur.
Enfin, ce séjour est derrière moi. Je n’attends plus grand-chose des forestiers. Si vous vous demandez quelle raisons m’ont retenues chez eux, je dois vous dire qu’ils appliquent certaines coutumes qui freinent le processus diplomatique de manière drastique. Peut-être ces usages antiques sont motivés par la raison et quand bien même c’était le cas, elles sont à mon avis parfois passables, et aujourd’hui dépassées. Il est vrai que les traditions sont importantes, mais elles doivent servir d’exemple et non de règle à appliquer à chaque situation.
Esgaroth est finalement à portée de main, et elle me sourit. Je talonne d’autant plus ma monture en pensant à nos retrouvailles. J’ai souvent songé à la promesse que j’ai faite à Waleys, et la honte m’est montée aux joues. Je rattraperai le temps perdu en votre compagnie, et rien ne m’empêchera de tenir cette promesse.
Guettez mon retour, je guette votre amour,

Storr ne lit pas la troisième. Il prit un tube de cuir pour y glisser les lettres, prépara un corbeau avant de le lâcher. Il partit ensuite en direction de sa monture puis du long-lac.

Vauban:

Le Roi apprenait les nouvelles venant du Nord. Les ambassadeurs arnoriens semblaient avoir finalement trouvé un terrain d'entente avec le Rohan et les forces confédérées. Une nouvelle qui le réjouit grandement ; peut-être était-ce le début d'un rapprochement entre le Royaume Unifié et le regroupement du Nord.

Du reste, on préparait les actions de demain au Gondor. Les Orcs demeuraient puissants sur cette terre et il était vital pour tout peuple de les éradiquer une bonne fois pour toutes.
Le Roi se leva et alla inspecter ses troupes.

@Vauban :

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